Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

50's

  • Le port de la drogue (1953)

    Cliquez sur l'image pour accéder à la chronique du film :

    film noir, dossier, 50's, états-unis, samuel fuller

     

  • Terreur et glamour : montée et déclin du studio Hammer (2017)

    Un documentaire de Jérôme Korkikian

    A l'occasion de la programmation d'Arte consacrée au Royaume-Unis à l'été 2017, la Hammer Film, la firme spécialisée dans les films de monstres que nous aimons tant, est célébrée à sa juste valeur : un tout nouveau documentaire, riche en interviews récentes d'invités de marque, et en extraits rares, est une bonne opportunité pour se replonger dans l'histoire de ce studio aux films gothiques constellés de sexe et de sang ! Le documentaire est rediffusé pour Halloween 2019.

    Lire la suite

  • Je dois tuer (1954)

    Un film de Lewis Allen

    4c1f8ab9ba35a.jpg"S'ils jouent les héros, tue-les.
    On ne sera pendu qu'une fois."

    Sous ses dehors de série B à l'aura délicate -son intrigue fut jugée totalement fantaisiste à l'époque, avant qu'elle ne se révèle prophétique avec l'assassinat de JFK ; de plus, Lee Harvey Oswald aurait visionné le film peu avant le crime-, Suddenly ! est une péloche trépidante, s'arrangeant formidablement de ses limites pour illustrer un huis-clos oppressant ; ces gangsters, sous la coupe de John Baron (Frank Sinatra), prêts à commettre le meurtre du président des Etats-Unis pour l'argent, se heurtent à la personnalité forte de Todd Shaw, shérif qui, comme Baron, a servi en Corée. Le jeu de miroir laisse paraître les fissures d'un Sinatra qui n'en est certes pas dépourvu. Le cadre serré du 1.33 sert le propos et cristallise les tensions, la folie paranoïaque du criminel, ainsi que le danger permanent qu'il représente pour ses otages. La dimension extrémiste du film rappelle constamment cette menace constante, restant par là très moderne.

    Le nom de la ville, qui donne son titre original au film, est excellent ; il crée la surprise chez chaque nouvel arrivant, tout en incarnant un état passé qui fait écho aux gangsters des années 30. Cette parenté, ainsi que la typologie du personnage principal, aspiré dans une spirale infernale de violence, rappelle totalement l'aspect film noir revendiqué par Lewis Allen, qui réalisera notamment un autre film du genre en 1955, Témoin à abattre.

    La tension est bien présente tout du long, avec une belle idée pour la résolution de l'intrigue. Un film simple, qui file comme une balle de son idée de départ jusqu'à son dénouement : une démonstration de l'efficacité d'alors, et oui, Sinatra est vraiment flippant.

    Disponibilité vidéo : DVD - éditeur : Wild Side Video

  • Gun Crazy - Le démon des armes (1950)

    Cliquez sur l'image pour accéder à la chronique :

    13928342616_8d19c61dcc_m.jpg

  • Les inconnus dans la ville (1955)

    Cliquez sur l'image pour accéder à la chronique :

    13609932894_6a080cc6a4_m.jpg